Les femmes au marché du travail français
La volonté d’être indépendentes des femmes les a conduite à entrer le marché du travail tant massivement qu’elles ne faisaient dorénavant. Bien que leur présence se rapproche de plus en plus de celle des hommes, les éganités demeurent néamoins un problème, même si on constate les facteurs d’évolutions positives chez les jeunes d’aujourd’hui.
Au cours des deux dernières décennies, l’activité des femmes ont connu une progression, 64% des femmes actives contre 75% des hommes. Parmi les emplois, celui à temps partiel privilègie les femmes. Par conséquent, cela a pour effet pervers d’augmanter le risque de précarité de l’emploi féminin.
La tertiarisation de l’économie a surtout bénéficié à l’emploi féminin, offrant les postes dans les domaines aux particuliers, de la santé, de la gestion et de l’administration. Par contre, les femmes sont sur-représentées dans les emplois peu qualifié et au monde ouvrier, qui demeure traditionnellement masculin.
Quant au salaire, l’inégalité est évidente entre homme et femme, surtout celle des pensions de retraite : 696 euros pour les femmes contre 1372 euros pour les hommes. Ce fait provoque ainsi le risque de pauvreté dans la familles monoparentales, essentielles des femmes seules avec les enfants, aussi les contraints liées à circulation entre la vie professionnelle et la vie famille en termes financiers et de temps disponible.